Installation, et découverte de sa colocataire.

Elodie, après son arrivée, devait allé s'installer. Comme elle était interne, elle n'allait sans doute pas être toute seule dans sa chambre. C'était toujours un avantage car certaines personnes qui ne dormaient pas dans l'université toutes les nuits, ou qui retournaient chez eux lors des week-end et des vacances, avait une chambre seuls.

*Ca ne doit pas être cool...*

La chambre qu'on lui avait attribuée était la numéro un, et elle la partageait avec une certaine Tracy Evans d'après ce qu'on lui avait dit à l'acceuil lorsqu'on lui avait donné les clés. Elle était donc monté au troisième étage, et avait cherché, sans trop de mal, cette porte qui enfermait sa nouvelle chambre et dans laquelle elle allait vivre désormais. Une fois devant cette porte d'un beau bois, et d'une serrure peinte en or, elle essaya d'imaginer comment serait la pièce qu'il y avait derrière. Elle essaya de s'en faire une petite image imaginaire, et elle introduit ensuite la petite clé d'argent dans la serrure. Elle la tourna vers la gauche, un petit déclic se fit entendre. Puis, la jeune fille actionna la porte pa la poignée elle aussi peinte en or, et poussa cette porte derrière laquelle se trouvait "le mystère". La chambre n'était pas si différente que celle qu'elle avait immaginée dans sa tête. Munie de deux fenêtre sous lesquelles se trouvaient respectivement un lit -par fenêtre donc-, il y avait aussi deux armoires, non loin de chaque lit dont les draps était d'un blanc muni de motifs en courbes et compliquée, du même bois que ces dits lits. Derrière cette chambre assez spacieuse où il ne manquait rien, il y avait une petite salle de bain toute propre et resplendisante. Tout cela était parfait. Elodie choisit le lit qui était à gauche lorsqu'on entrait, et elle s'y assit, en traînant derrière elle sa valise. Elle se demandait si elle verrait rapidement sa colocataiare, qu'elle espérait un tant soit peu sympathique car elle aurait voulu s'en faire une amie... Et c'est alors que la porte de chambre, qu'elle avait juste poussée sans la fermer derrière elle, s'ouvrit doucement...

Nombre de messages : 29 Age : 30 Date d'inscription : 24/05/2008

[ j'allais justement faire un sujet Razz

]

Tracy aprés etre passé a l'accueil, s'etait vautré sur les marches, en attendant, elle ne savait pas ce qu'elle attendait. C'est a ce moment la qu'elle recontra Megan, qui soit disant la plus populaire du lycée, mais qui selon Tracy, n'etait plutot qu'une pauvre cruche blindé de frique et qui ne savait rien de la vie. Si Tracy haissait autant ce monde de friqué c'est parce que avant elle en faisait parti mais elle s'etait rendu compte, quand elle habita dans le Bronx, que l'argent ne rendait pas réellement heureux, que l'amitié et la solidarité etait beaucoup plu important. Elle etait bien plus mature que les filles de son age, c'est pour ca qu'elle trouvé Megan désolante ...

Elle avait deja mis ses affaires dans la chambre, bien rangée et ne savasit pas pourquoi elle n'y etait pas retourné. Au bout d'une heure, elle finit par se donnait du courage et se decida a retrourner dans la chambre. Qui etait super bien, parfaite, peu etre trop, ca faisait pas naturelle, pas pour l'instant du moins. Quand elle ouvrit la porte, elle se rendit compte que sa colocataire etait deja la. Elles allaient passé un an dans la meme chambre, et vallait mieu qu'elle s'entende. Tracy sourit et dit joyeusement:

- salut mlle

Oui, il semblait bien que c'était sa nouvelle colocataire de l'année. Elle avait salué Elodie d'un ton jovial et sympathique, et elle semblait d'ailleurs l'être. Pour autant qu'elle sache, la première impression était la plus importante et celle qui était en général la plus vraie. Elle essaya donc de... "visualiser" le caractère de son interlocutrice, tout en lui répondant :

"Salut ! Moi c'est Elodie, Elodie McCashield. Tu es sans doute Tracy, je me trompe ?"

Elle lui fit un petit sourire comme pour ajouter :

*J'espère qu'on va bien s'entendre.*

Mais revenons à sa "visualisation". La nommée, normalement, Tracy semblait aux premiers abords sympathique. Mais elle avait quelques aires.. rebelle. C'était peut-être le cas, elle le découvrirait avec le temps. Elle semblait aussi gentille, du moins, comme le pensait Elodie, lorsqu'on l'était avec elle ou que la personne le méritait. En tout cas, il n'y aurait sans doute aps trop de problème d'entente dans la chambre entre les deux jeunes filles qui devait avoir à peu près le même âge, du moins en grande apparence. Mais comme on le dit, les apparences sont parfois trompeuses... Mais tout de même assez rarement. En tout cas, Elodie espérait que ça ne serait pas le cas sur sa calocataire.

[hj : Désolée j'ai un petit manque d'inspi...]

Nombre de messages : 29 Age : 30 Date d'inscription : 24/05/2008

Tracy et son caractere ... elle est unique on va dire. Elle peut vraiment etre un amour avec certaines personne, mais il faut réellement que le courant passe. Car comme l'a remarqué Megan, dés le debut, elle a quand meme un fort caractere, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds, par personne, que ce soit un simple etudiant ou le president de la republique.
En somme, si ca passait tout de suite avec Elodie, tout ce passerait bien pour le reste de l'année.

- oui, c'est ca.

Elodie lui sourit,Tracy lui rendit, elle avait plutot l'air sympa. Mais comme elle disait toujours, il faut connaitre la personne pour pouvoir la juger vraiment. Tracy entra dans la piece en fermant la porte derriere elle, et se vautra dans son lit, face a Elodie.

[ tkt pas je suis dix fois pire xD ]

[hj : Attention, paroles en style indirect]

Un silence s'installa entre Elodie et sa colocataire. Un silence pas trop lour, heureusement, et qui fut vitre brisé par Elodie qui voulut savoir d'où venait son interlocutrice. Elle lui posa donc la question, en repensant à sa campagne, qu'elle avait quittée pour cette université. Elle espérait que ça n'aura pas été en vain qu'elle avait quitté ce si beau creux de vallons, qui lui plaisait tant, et dont elle connaissait parfaitement els odeurs à chaque moment de l'année et de la journée. Le matin, la plupart du temps, ça sentait le frais, avec de temps en temps un petit brin d'humidité. On entendait non loin les tracteurs, dans leur champs, qui labouraient la terre. Et le midi, ça sentait toujours le frais, mais avec cette fois une petite odeur d'herbe tondue, qui alternait aussi avec cette des fleurs. Et le soir, tout commençait à dormir mais ça faisait du bruit ; les cigales chantaient, et les oiseux avec leurs chansons mélodieuses, effectuaient une sorte de balets artistique et en groupe. Ah que c'était beau la campagne, on ne pouvait pas le nier ! C'est tout à ses souvenirs qu'elle attendit la réponse de Tracy.

Nombre de messages : 29 Age : 30 Date d'inscription : 24/05/2008

D'ou elle venait ... raahh, c'etait une longue histoire, du Bronx ou de Manhattan ? des deux, malheureusement

- je suis née a Manhattan et a 15 ans je suis allée dans le Bronx, que je considere plus comme ma maison, parce que contrairement aux gens qui voudraient etre a ma place, je hais ce monde de luxe ou il n'y a que l'apparence qui compte

ce qui etait vrai, tous ces gens ne connaissaient pas ce que ca faisait d'etre connu, d'etre tous le temps suivi et traqué apr des journalistes. Il n'y avait plus de liberté, vraiment pas. Et tous ca s'etait, superficielle. Trop superficielle, et ... elle haissait tous ca. Elle n'avait jamais connu la campagne, non le Bronx c'etait pas le luxe mais trés urbain, que des immeubles du bitume, le reve en gros pour Tracy.

- et toi t'es d'ou ?

Eh bien, Tracy avait une vie bien chargée ! Ce n'était pas du tout le cas d'Elodie, qui répondit assez simplement :

"J'ai toujours vécue dans un coin sans habitations à 5 kilomètres de rayon, en Ecosse. J'ai fait mes études à Londres, en pensionnat, avant de venir ici."

Ca résumait parfaitement son petit coin de campagne bien à elle, où se trouvait tou ses souvenirs. Toutes ses découvertes du monde, tout son apprentissage culuturel pour ainsi dire. C'était en faite, le centre de ses souvenirs. Elle n'avait pas d'autre vie... Sauf celle qu'elle allait essayer de se construire ici, à la Glamour University. Comme elle n'avait plus rien dit depuis sa réponse, le silence commençait à s'installer, mais pas trop lourd heureusement. Elle se demandait si sa colocataire allait relancer la conversation.